Mon fidèle multicab hoquetant loge maintenant sans encombre dans quelques caisses en bois, et c'est comme une rupture, le divorce est prononcé, les avocats adverses viennent de conquérir de haute lutte la maison de nos amours, et j'ai gardé le chien...
C'est un peu ça, je me sens comme dépossédé de mon libre arbitre, l'otage d'une joyeuse confrérie qui vient de renoncer à réclamer la rançon.
Comme le clébard, il va me falloir tourner en rond un petit moment avant de m'allonger à la bonne place, et après, j'y verrai peut-être plus clair. Pour l'instant, nous venons de finir le chargement des chariots, il va falloir partir, je penserai demain...
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