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Après, il fallut monter manger, la salade de figues n'était pas mauvaise, avec son petit assaisonnement bienvenu qui rappelait le vinaigre balsamique tout en s'en éloignant par de subtils et étranges arrière-goûts. J'ai bien aimé aussi la terrine végétale panais-betterave-figue et la viande en sauce (aux figues), même si personne n'a voulu me dire ce que c'était comme viande. Est-ce au moment de l'omelette ou à l'apparition de la chose qu'on a voulu me présenter comme un bavarois que j'ai senti monter l'écœurement ? Puis j’eus à peine le temps de balancer un rot sonore parfum figue avant de devoir avaler, en guise de réconfort, le glafé le plus infâme que j'ai jamais bu. Pour moi, la lecture c'était fini...